Financer la recherche substitutive à l’expérimentation animale

Financer la recherche substitutive à l’expérimentation animale


Présentation et avantages d'un mécénat pour soutenir les objectifs et actions de Pro Anima

16 septembre 2020

La Fondation Descroix-Vernier est actuellement le principal mécène de Pro Anima et le principal contributeur du prix EthicScience, destiné à faire reconnaitre et aider une recherche alternative et libérée de l’expérimentation animale.

C’est dans ce cadre que prend place le programme de toxicologie cellulaire Valitox, actuellement en pré-validation au Centre Européen des Validations des Méthodes Substitutives à l’Expérimentation Animale. Valitox-Lucs est un test de toxicologie initié par le Comité scientifique Pro Anima, qui en a coordonné et soutenu les travaux, en partenariat avec les principales ONG françaises, suisse et belge pour un montant de 450000 euros en ce qui concerne ces dernières.

Information importante concernant vos dons

Le Sénat, à majorité de droite a voté dimanche 19 juillet 2020 un amendement instaurant une réduction fiscale exceptionnelle pour des dons de particuliers afin de les faire participer à la relance économique. L’amendement a été voté contre l’avis du gouvernement. Il prévoit une réduction d’impôts de 75% (contre 66% actuellement) sur les dons effectués par des contribuables entre le 1er juin et le 31 Décembre 2020 au profit notamment de fondations, d’associations d’utilité publique ou d’organismes d’intérêt général… le tout dans la limite de 1000 euros.

Annonce parue le 20 Juillet 2020 dans Les Dernières Nouvelles d’Alsace

À l’exemple de Valitox, nous demandons que les recherches de progrès, substitutives à l’expérimentation animale, bénéficient d’un financement véritable et suffisant pour encourager et permettre à des scientifiques de s’engager dans des voies de recherche modernes, issues des progrès de la biologie et des nouvelles technologies. En effet, il est actuellement souhaitable et  possible de faire mieux et autrement pour tester les produits chimiques, médicaments et autres, qui impactent notre santé et celle de notre environnement.

Pour cela, nous demandons que le budget alloué à l’expérimentation animale soit identique au budget consacré à la recherche moderne, éthique, substitutive à l’expérimentation animale. Nous ne sommes plus au temps de Claude Bernard ni, selon la déclaration du Professeur Thomas Hartung, ” des rats de 70 kilos”.

Aider Pro Anima, c’est soutenir, avec le Comité, la recherche sans tests animaux, c’est aller dans le sens du progrès scientifique et éthique. Actuellement l’expérimentation animale est encore légale, pourtant 98% des résultats issus des tests sur les animaux échouent lors des tests cliniques sur les êtres humains. Les dangers des effets secondaires des médicaments le démontrent hélas trop souvent. La pilule Diane 35 qui a tué Georgina et a fait tant d’autres victimes, est toujours sur le marché, tandis que l’on interdit la commercialisation de certaines plantes comme l’Artemisia Annua…et que l’on supprime le remboursement de l’homéopathie, utilisée avec succès par plus de la moitié des Français. Où est la logique ? Et quelle est-elle ?  Nous publierons dans notre prochain bulletin des témoignages concrets des bienfaits de l’Artemisia Annua sur des personnes de notre entourage, à titre d’information pour nos lecteurs.

Dans cette démarche constante de préservation de notre santé, le financement du prix EthicScience reste une priorité indispensable, au bénéfice de chacun de nous et de la reconnaissance de nos mécènes. C’est l’honneur d’une entreprise innovante et importante, avec des personnes de cœur et d’intelligence, d’être de ceux qui participent à sa réalisation.

Les temps changent. Nous devons changer aussi, car nous avons le droit de savoir et le devoir de réagir : c’est la devise de Pro Anima, en mémoire de Georgina.