Christine, 43 ans, souffre de plusieurs pathologies. Elle limite ses traitements à la nécessité vitale afin de ne pas cautionner l’expérimentation animale. Un engagement très courageux qu’elle nous explique ici.
Ma première maladie n’en est pas une. Je préfère l’appeler différence : je suis autiste d’Asperger.
Je souffre également de 3 maladies auto-immunues : une maladie cardiaque orpheline, une thyroïdite de Hashimoto, un vitiligo.
Et pour finir j’ai des douleurs chroniques sévères dans le dos et des cicatrices étendues (genou droit, bras et main gauche, visage) suite à des accidents.
L’autisme n’étant pas une maladie, ça ne se soigne pas.
En revanche il existe des médicaments pour atténuer certains symptômes (crises d’anxiété, troubles du sommeil, etc) mais j’ai choisi d’apprendre des techniques d’autocontrôle, par exemple la médiation et surtout l’auto-hypnose. L’usage des plantes est également très efficace ainsi que la zoothérapie.
Concernant mes autres pathologies, je suis uniquement un traitement pour le Hashimoto : c’est en effet une maladie mortelle à plus ou moins long terme si on ne compense pas la perte d’hormones thyroïdiennes par le fameux Levothyrox qui défraie la chronique…
Pour mes autres pathologies j’ai choisi de ne pas suivre de traitement*:
soit il n’existe que des médicaments de confort (pour mon cœur et mon dos : pas de traitement curatif) et j’estime que mon confort ne justifie pas les souffrances animales dont sont issus les médicaments ; soit il existe un traitement curatif. Pour mes cicatrices : plusieurs techniques seraient envisageable pour les effacer, mais j’estime que l’enjeu, purement esthétique, ne justifie pas non plus la recherche animale dont il est issu. De manière générale j’aime l’idée de vivre dans un strict respect de la loi de la nature.
(* il s’agit du choix personnel et réfléchi de Christine. Il ne représente pas une prise de position de notre association)
Il s’agit d’un trouble du développement d’origine neurobiologique dont le diagnostic se fait sur la base de caractéristiques du comportement de l’individu (en savoir plus).
Il n’existe pas de remèdes. Seules des thérapies comportementales peuvent être envisagées.
L’autisme étant un trouble comportemental exclusivement humain, la validité des modèles animaux créés en laboratoire et utilisés dans cette recherche est particulièrement aléatoire. En revanche les méthodes sans recours à l’expérimentation animale peuvent représenter un espoir pour les patients.
Des chercheurs ont réussi à élucider les différences entre un cerveau non autiste et un cerveau autiste en utilisant des données collectées auprès de patients et une méthode moderne de scan intitulée Brain Wide Association Analysis (BWAS). Ainsi, un cerveau panoramique en 3D sert de modèle pour une meilleure compréhension de la pathologie. Cette technologie permet l’analyse de plus d’un milliard de données couvrant plus de 47 000 zones distinctes du cerveau humain.
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